6. Mardi 20 novembre
Nouvelle soirée, le mardi 21 novembre, au PIFFF, Paris International Fantastic Film Festival, qui nous proposait deux films menant à la dépression (pas forcément pour les mêmes raisons). Le premier, CRAVE, proposait une facture technique de grande qualité et pour cause puisque ce premier film est réalisé par un cinéaste oeuvrant dans le domaine du making-of depuis pas mal d'années. Une activité qui a permis à Charles de Laurizika de nouer des contacts à faire baver n'importe quel cinéaste qui veut se lancer dans l'aventure du long métrage ! Pour autant, le film s'inscrit de manière très indirecte dans le domaine du cinéma fantastique. On suit plus les errances, fantasmées ou pas, d'un homme qui se perd lui-même dans sa psyché. Touchant et dérangeant, le métrage a de quoi partager et l'on vous donne un avis mitigé en lisant la chronique ci-dessous....
Ce qui ne nous a pas partagé, par contre, c'est THE
SEASONING HOUSE. Le réalisateur avait fait le déplacement spécialement
pour répondre aux questions des spectateurs. A près de minuit, les plus courageux
avaient du quitter prestement la salle puisque, à l'issue de la projection,
la plupart des questions posées au cinéaste se montraient particulièrement
gentilles. Personne n'ayant apparemment l'envie de bousculer le cinéaste
après son grotesque spectacle. On vous en dit plus dans une chronique plutôt
violente mais, après tout, THE
SEASONING HOUSE le mérite bien.
Cliquez sur l'affiche pour lire la chronique…