CRITIQUE : SLEEPY HOLLOW

Le cinéma de Tim Burton est souvent vu comme le fruit de l’univers personnel du cinéaste. Néanmoins, il est bon de rappeler qu’il s’agit en grande partie du fruit d’une culture cinématographique et picturale que le réalisateur a intégré avec une certaine intelligence. En 1999, il proposait ainsi un véritable hommage au cinéma d’épouvante européen avec SLEEPY HOLLOW : LA LÉGENDE DU CAVALIER SANS TÊTE, l’histoire prenant pourtant racine dans la culture américaine. C’est ce que nous rappelle aujourd’hui Emmanuel Denis dans sa chronique de SLEEPY HOLLOW que vous pouvez lire en cliquant sur l’image ci-dessous…