Header Critique : INDIANA JONES ET LA DERNIERE CROISADE (INDIANA JONES AND THE LAST CRUSADE)

Critique du film et du DVD Zone 2
INDIANA JONES ET LA DERNIERE CROISADE 1989

INDIANA JONES AND THE LAST CRUSADE 

Indiana Jones part à la recherche de son père, un vieux professeur de littérature médiévale mystérieusement disparu alors qu'il était à la recherche du mythique Graal...

A sa sortie, INDIANA JONES ET LE TEMPLE MAUDIT est encore un triomphe commercial pour Steven Spielberg. Toutefois, des critiques assez vives lui reprochent la violence du film, voire son racisme dans la description de certains personnages asiatiques. D'autre part, il doit faire face à ceux qui l'accusent de cultiver systématiquement un cinéma infantile et mièvre. Lorsque sort, l'année suivante, LA COULEUR POURPRE, un drame de l'esclavage américain, Spielberg prouve enfin qu'il peut être considéré comme un réalisateur hollywoodien "sérieux". Toutefois, L'EMPIRE DU SOLEIL, dans un même style "adulte", est mal reçu : c'est, en plus, son premier échec commercial depuis 1941... Pendant ce temps-là, l'influence d'Indiana Jones s'est fait sentir sur les écrans, que ce soit dans des productions Spielberg (LES GOONIES de Richard Donner, LE SECRET DE LA PYRAMIDE de Barry Levinson...) ou dans les films d'autres studios américains : Cannon, notamment, propose une nouvelle version de ALLAN QUATERMAIN ET LES MINES DU ROI SALOMON, et met même en scène Chuck Norris dans un film d'aventures archéologiques : LE TEMPLE D'OR. Le cinéma bis italien, dans ses derniers soubresauts, suit le mouvement, avec LES AVENTURIERS DU COBRA D'OR, LE TRESOR DES QUATRE COURONNES ou PRISONNIÈRES DE LA VALLÉE DES DINOSAURES. Même Jackie Chan s'y met avec MISTER DYNAMITE et OPERATION CONDOR. Quant à la France, elle ne démérite pas : les dirigeants d'Eurociné convoquent en effet Jesus Franco afin de lui faire réaliser LES DIAMANTS DU KILIMANDJARO, puis LES AMAZONES DU TEMPLE D'OR (co-réalisé par Alain Payet) !

Ayant toujours envisagé les aventures d'Indiana Jones comme une trilogie, Lucas se met rapidement à chercher une nouvelle intrigue. Une histoire de château hanté est envisagée, mais Spielberg estime avoir déjà donné dans l'épouvante avec INDIANA JONES ET LE TEMPLE MAUDIT. On songe à envoyer Indiana Jones en Afrique et à s'inspirer de la légende du Roi des Singes... Plusieurs scénaristes se succèdent à la tâche, parmi lesquels Chris Colombus et Menno Meyjes. C'est finalement Jeffrey Boam (DEAD ZONE) qui proposera un travail satisfaisant. Lucas apporte plusieurs idées importantes, notamment en choisissant, comme trésor à découvrir, le Graal des légendes de la Table Ronde. Surtout, il donne à Indiana Jones... un père ! Passionné des films de James Bond, Spielberg pense immédiatement à Sean Connery pour interpréter ce personnage, nommé Henry Jones. Le plus célèbre des acteurs écossais accepte cette proposition !

Tout est paré pour un nouveau tournage, en été 1988, qui va encore entraîner Indiana Jones et ses créateurs dans un voyage autour du monde. Il commence en Espagne, notamment dans la région d'Almeria (célèbre site de tournage de westerns spaghettis), où est filmée la séquence du tank. Puis, à nouveau, les studios d'Elstree sont envahis par l'équipe, qui y réalise, entre autres, les séquences des catacombes, du château et de l'intérieur du sanctuaire. C'est aussi en Grande-Bretagne qu'est filmée la poursuite des canots à Venise. Quelques extérieurs sont ensuite tournés dans la cité des Doges. Puis, on se rend en Jordanie, notamment sur le site archéologique de Pétra, dont une des célèbres façades de tombeau rupestre sera utilisée comme entrée du Temple du Graal. Enfin, des extérieurs sont filmés en Allemagne, avant que la troupe ne retourne aux USA, où sont notamment filmés le prologue et la poursuite en moto, improvisée assez rapidement après que le premier montage de l'oeuvre ait paru manqué d'action. C'est bien sûr l'ILM qui prend ensuite en charge les divers effets spéciaux d'INDIANA JONES ET LA DERNIÈRE CROISADE.

Après être revenu d'un périlleuse chasse au trésor, Indiana Jones reçoit, à l'établissement où il enseigne, le journal de son père Henry, dans lequel sont rassemblées les notes que celui-ci a amassées au cours des nombreuses années d'études qu'il a consacrées à la quête de sa vie : la recherche du mythique Graal. Indiana est ensuite emmené de force auprès de Walter Donovan, un collectionneur, lui aussi obsédé par cette relique. Il révèle à l'archéologue que Henry Jones, parti à Venise pour y poursuivre ses recherches, a mystérieusement disparu. Indiana Jones s'y précipite, en compagnie de son ami Marcus Brody. Une fois sur place, Elsa, l'assistante de Henry, les mène à la bibliothèque où le vieil homme travaillait. Indiana Jones y découvre un accès à des catacombes, dans lesquelles il trouve un indice fondamental pour la découverte du Graal. Peu après, il échappe de justesse à un attentat ourdi par une secte d'assassins. Il parvient à capturer leur chef, qui lui révèle que Henry Jones est retenu prisonnier par les nazis...

Voici donc Indiana Jones lancé, un peu malgré lui, sur les traces du mythique Graal. Cette relique est née, en fait, dans les légendes de la Table Ronde. Chrétien de Troyes la fait apparaître dans "Perceval ou le conte du Graal", où elle est présentée aux côtés d'autres objets de valeur. Soit dit en passant, et contrairement à ce qu'implique le final d'INDIANA JONES ET LA DERNIÈRE CROISADE, l'objet y est décrit comme très luxueux. Mais c'est Robert de Boron, un autre écrivain du XIIème siècle, qui, dans son "Histoire du Graal", considère la relique comme le calice avec lequel Joseph D'Arimathie a recueilli le sang de Jésus crucifié. Il est en tout cas le but de la quête de Perceval, personnage apparaissant au cinéma notamment dans un PERCEVAL LE GALLOIS d'Eric Rohmer, ou dans PARSIFAL de Syberberg, monumentale transposition de l'opéra du même nom composé par Wagner. Perceval et sa quête sont bien sûr mentionnés dans les plus célèbres adaptations du cycle de la Table Ronde, comme LES CHEVALIERS DE LA TABLE RONDE ou EXCALIBUR. Surtout, le Graal aura le rôle-vedette dans le premier vrai long métrage des Monty Python, le délirant et parodique MONTY PYTHON, SACRE GRAAL !

La quête du Graal, chasse au trésor initiatique par excellence, inspirera bien sûr de nombreuses autres oeuvres littéraires jusqu'à nos jours, parmi lesquelles un certain "Le Seigneur des Anneaux". C'est donc au tour d'Indiana Jones de partir sur les pas des chevaliers médiévaux, et c'est logiquement que sa route va suivre celles des croisés, en passant par Venise, point de jonction entre l'Empire Byzantin et les royaumes d'Occident, avant de le mener en Europe centrale, puis en Jordanie.

Spielberg, assez embarrassé par INDIANA JONES ET LE TEMPLE MAUDIT, souhaitait, avec INDIANA JONES ET LA DERNIÈRE CROISADE revenir à l'état d'esprit du premier volet. Pour ce faire, il ramène deux personnages du premier film : Salah (John Rhys-Davies) et Marcus Brody (Denholm Elliott), ce dernier se révélant être un irrésistible personnage comique. L'atmosphère claustrophobe du second volet, tourné pour la plus grande part en studio, est abandonnée au profit de nombreux extérieurs ensoleillés. Quant aux effets spéciaux optiques, omniprésents dans presque toutes les scènes d'action du film précédent (le canot, les wagons, le pont...), ils sont cantonnés, à de très rares exceptions près, aux séquence du zeppelin et des avions, permettant ainsi à Indiana Jones de renouer avec le naturel des cascades spectaculaires du premier épisode (la poursuite en camion, la taverne...).

Il a été reproché à INDIANA JONES ET LE TEMPLE MAUDIT l'excessive cruauté dont faisaient preuve les méchants. A ces critiques, les scénaristes répliquaient qu'elle était nécessaire pour rendre les Thugs, peu connus, menaçants aux yeux des spectateurs. Avec les nazis du premier volet, le problème ne se posait guère. La mémoire collective est suffisamment imprégnée des atrocités commises par le troisième Reich pour que ces méchants n'aient pas à faire trop de zèle pour incarner le mal absolu. Qui plus est, même les plus obsédés du politiquement correct ne pouvaient pas, décemment, accuser Spielberg de racisme anti-allemand sous prétexte qu'il présentait des serviteurs de Hitler sous un mauvais jour ! Spielberg oppose donc à nouveau Indiana Jones à des nazis.

Toutefois, les nouveaux adversaires d'Indiana Jones sont sans doute son point le plus faible dans ce nouveau volet. Elsa, interprétée par une assez fade Alison Doody, ne parvient jamais à vraiment s'imposer. Walter Donovan, que joue un Julian Glover aux airs de Charles Gray, paraît une resucée peu passionnante de Belloq. Seul Michael Byrne, incarnant le S.S. Voegel, semble à la hauteur de sa tâche. Et encore, il est bien sous-exploité, sa seule scène importante étant celle du tank. Somme toute, ces méchants paraissent assez adoucis.

Spielberg se montre d'ailleurs extrêmement prudent quant à la violence de ses séquences. Quand bien même une scène, comme celle du tank, est extrêmement spectaculaire, ce rejet de toute forme de cruauté excessive lui retire pas mal de piquant et d'efficacité si on la compare, par exemple au combat contre le chef de la mine de Pankot ou à la poursuite en camion du premier volet (où un nazi boxait le visage d'Indiana Jones jusqu'à le mettre en sang !). Dans le même sens, les péripéties du final s'avèrent peu spectaculaires, voire franchement décevantes, ne serait-ce que si on les confronte à l'introduction des AVENTURIERS DE L'ARCHE PERDUE. Pourtant, les séquences d'action d'INDIANA JONES ET LA DERNIÈRE CROISADE n'en sont pas pour autant ennuyeuses. Elles évoquent plutôt les rebondissements très rythmés et très inventifs, sans jamais être trop crus ou réalistes, d'une aventure de "Tintin" (dont Spielberg avait alors acquis les droits de plusieurs aventures en vue d'en produire des adaptations cinématographiques). D'ailleurs, tout comme Tintin avec son prototype scout "Totor", il nous est revelé qu'Indiana Jones a débuté dans le scoutisme, grâce à un prologue rétrospectif extrêmement réussi, retraçant ses aventures d'adolescent.

La grande force de ce nouveau volet, c'est certainement la façon dont ses créateurs jouent avec le public, en parsemant le métrage de références et de révélations concernant son personnage principal. Harrison Ford, dont l'interprétation a nettement gagné en richesse et en maturité, jonglent avec les multiples aspects de son personnage, s'appuyant autant sur ses forces (séduction, intelligence, courage physique, opiniâtreté) que sur ses faiblesses (maladresses, phobies...). Si la quête du Graal n'est pas la plus passionnante des aventures qu'ait vécues Jones, et si ses ennemis paraissent un peu en retrait, il n'en reste pas moins que sa confrontation avec son père nous vaut certains des meilleurs moments de comédie de la trilogie. Alors que dans INDIANA JONES ET LE TEMPLE MAUDIT, l'archéologue semblait manquer d'un "interlocuteur" réellement solide pour ces moments, le tandem "Henry senior - Henry junior", porté par la complicité inouïe entre Ford et Connery, retrouve l'intensité comique et humaine du couple Indiana - Marion dans LES AVENTURIERS DE L'ARCHE PERDUE. L'opposition entre les méthodes et les motivations des deux personnages, les manières farfelues et hautaines de Henry Jones et les souffrances qu'il fait endurer à son pauvre fils, le grand aventurier étant souvent ramené au rang de petit garçon turbulent, sous-tendent le film et lui donnent toute sa force burlesque et émouvante.

Ajoutons à cela la mise en scène de Spielberg, toujours aussi fluide et inventive, et des péripéties globalement toujours aussi bien rythmées, et l'on obtient, à nouveau, un très bon film d'aventures, mêlant d'excellentes scènes d'action et de très bons moments de comédie dans un univers aussi glamour que dépaysant. Même s'il partagera encore un peu la critique, INDIANA JONES ET LA DERNIÈRE CROISADE connaîtra, à nouveau, un excellent accueil public. Toutefois, comme l'indiquait son titre, la série était arrivée à la fin d'un cycle. Ses auteurs ne semblaient pas vouloir remettre le couvert tout de suite. Néanmoins, Lucas lancera la série télévisée LES AVENTURES DU JEUNE INDIANA JONES, qui s'étalera de 1992 à 1996. En 2002, Spielberg annonce la mise en route d'une quatrième aventure cinématographique d'Indiana Jones, toujours interprétée par Harrison Ford, dont le tournage aurait lieu en été 2004 et qui sortirait en été 2005. Un scénario, rédigé par Frank Darabont, aurait été achevé en 2003 et serait en cours de ré-écriture actuellement...

Comme pour les deux précédents films, le DVD propose une image en format scope d'origine avec option 16/9. Elle est d'une propreté stupéfiante. Tout est absolument parfait, et même les plans truqués sont dénués de grain. Compression inexistante, couleurs éclatantes, fluidité impeccable, luminosité et contraste parfaitement équilibrés... : bref, il n'y a rien à redire !

La perfection se retrouve encore pour la piste anglaise 5.1, toujours aussi remarquable de précision, de netteté et d'équilibre. La bande-son française, à nouveau, n'est proposée qu'en Dolby Surround d'origine, mais le résultat est ici excellent, bien que légèrement moins fin que la version originale. On retrouve bien sûr les sous-titres Zone 2, parmi lesquels un sous-titrage français.

Pour le coffret "Les aventures d'Indiana Jones", il a été sagement choisi, pour les trois films, de limiter les options techniques afin de garantir la qualité maximale du matériel proposé. Ainsi, on ne trouvera pas d'encombrante piste DTS ou de bonus sur ces trois DVD. Les suppléments ont été reportés sur un seul et même disque, qui va être étudié ici.

La première partie de l'interactivité est le documentaire "Indiana Jones : naissance d'une trilogie", composé de trois parties distinctes, consacrées chacune à un des films. Le documentaire sur LES AVENTURIERS DE L'ARCHE PERDUE (environ 50 minutes) se penche d'abord sur la gestation du personnage, puis sur le tournage lui-même. Comme pour les deux autres reportages, les séquences y sont évoquées dans l'ordre du film, et non en suivant la chronologie du tournage. On y trouve des interviews récentes de nombreux intervenants, que ce soit Georges Lucas, Steven Spielberg, le scénariste Lawrence Kasdan, le chef-opérateur Douglas Slocombe, le réalisateur de seconde équipe Michael Moore, les acteurs Harrison Ford, Karen Allen, Paul Freeman, John Rhys-Davies... On apprécie surtout la présence de nombreux extraits de documents filmés sur le tournage lui-même. Rigoureux, bien fait, ce bonus propose une synthèse efficace et intéressante sur le sujet, sans prétendre toutefois à l'exhaustivité.

Le second volet du documentaire (environ 40 minutes), dédié à INDIANA JONES ET LE TEMPLE MAUDIT, bénéficie des mêmes qualités que son prédecesseur, et propose, à nouveau, de nombreux documents (images de tournage, dessins...) et anecdotes, tout en favorisant la synthèse et la clarté. La troisième partie, celle d'INDIANA JONES ET LA DERNIÈRE CROISADE (environ 35 minutes), est peut-être un peu moins intéressante, et nous montre même parfois Spielberg en train de se livrer à la description paraphrastique de certaines séquences. Heureusement, les interviews des nombreux intervenants, ainsi que les documents d'époque (parmi lesquels des entretiens avec les acteurs Denholm Elliott et River Phoenix, décédés depuis), en font tout de même un supplément intéressant.

Divers aspects techniques sont abordés dans des featurettes d'environ dix minutes chacune, permettant de saluer le travail des ingénieurs du son ("Le son d'Indiana Jones"), du compositeur John Williams, bien sûr ("La musique d'Indiana Jones"), des cascadeurs ("Les cascadeurs dans Indiana Jones") et des responsables des effets spéciaux ("La lumière et la magie d'Indiana Jones"). Là encore, l'information est synthétique, mais néanmoins intéressante, et le recours à de nombreux documents de tournage les rend assez passionnants. On regrette néanmoins que les featurettes sur les cascades et, surtout, sur les effets spéciaux, soient un peu trop courtes.

On a ensuite accès à une galerie de bandes-annonces, rassemblant : un teaser et deux bandes-annonces des AVENTURIERS DE L'ARCHE PERDUE ; une bande-annonce de INDIANA JONES ET LE TEMPLE MAUDIT ; puis un teaser et une bande-annonce de INDIANA JONES ET LA DERNIÈRE CROISADE. On y trouve aussi une petite pub pour le nouveau jeu vidéo INDIANA JONES ET LE TOMBEAU DE L'EMPEREUR. Enfin, l'interactivité se conclut par un accès au site officiel de la série des Indiana Jones.

Certes, on a l'impression que ce DVD aurait pu contenir encore plus d'informations intéressantes. Il y avait matière à faire des "Making Of" plus complets et précis pour chaque film. Néanmoins, on remarque qu'il a été choisi d'éviter certaines formes d'interactivité un peu "gavantes", comme le commentaire audio, qu'on peut souvent remplacer avantageusement par des entretiens mieux menés et construits, ou d'interminables galeries de photographies. Certes, on reste un peu sur sa faim quant à ces bonus, mais, au moins, on apprécie que la qualité et la rigueur aient été préférées à une profusion chaotique mal maîtrisée.

INDIANA JONES ET LA DERNIÈRE CROISADE clôt donc remarquablement cette magnifique trilogie, qui fut sans doute l'évènement le plus important du cinéma d'aventures des années 1980. Quant à ce DVD, irréprochable, il permet de le redécouvrir dans des conditions de confort technique optimale. L'ensemble du matériel proposé dans ce coffret "Les aventures d'Indiana Jones" est ainsi de très haute qualité et permet de se replonger, avec ravissement, dans les indémodables aventures du professeur Jones !

PS : Pour trouver encore plus d'informations sur la série des Indiana Jones, les anglophones sont invités à se rendre, entre autres, sur le site officiel de la série et sur l'excellent The Raider.net.

Rédacteur : Emmanuel Denis
Photo Emmanuel Denis
Un parcours de cinéphile ma foi bien classique pour le petit Manolito, des fonds de culottes usés dans les cinémas de l'ouest parisiens à s'émerveiller devant les classiques de son temps, les Indiana Jones, Tron, Le Dragon du lac de feu, Le Secret de la pyramide... et surtout les Star Wars ! Premier Ecran fantastique à neuf ans pour Le retour du Jedi, premier Mad Movies avec Maximum Overdrive en couverture à treize ans, les vidéo clubs de quartier, les enregistrements de Canal +... Et un enthousiasme et une passion pour le cinéma fantastique sous toutes ses formes, dans toute sa diversité.
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Un très bon film d'aventures
Un DVD aux qualités techniques excellentes (pour les amateurs de VO, en tout cas)
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L'édition vidéo
INDIANA JONES AND THE LAST CRUSADE DVD Zone 2 (France)
Editeur
Support
4 DVD
Origine
France (Zone 2)
Date de Sortie
Durée
2h01
Image
2.35 (16/9)
Audio
English Dolby Digital 5.1
Francais Dolby Digital Stéréo Surround
Sous-titrage
  • Anglais
  • Français
  • Supplements
    • LES AVENTURIERS DE L'ARCHE PERDUE
    • INDIANA JONES ET LE TEMPLE MAUDIT
    • INDIANA JONES ET LA DERNIERE CROISADE
      • Disque Bonus
        • Indiana Jones : Naissance d'une Trilogie
        • Les Aventuriers de l'Arche Perdue (50mn46)
        • Indiana Jones et le Temple Maudit (41mn06)
        • Indiana Jones et la Dernière Croisade (35mn)
        • Featurettes
        • Les Cascades dans Indiana Jones (10mn56)
        • Le Son d'Indiana Jones (13mn18)
        • La Musique d'Indiana Jones (12mn22)
        • La Lumière et la Magie d'Indiana Jones (12mn20)
        • Bandes-annonces
          • Les Aventuriers de l'Arche Perdue
          • Teaser
          • Trailer
          • Trailer promo
        • Indiana Jones et le Temple Maudit
          • Indiana Jones et la Dernière Croisade
          • Teaser
          • Trailer
      • Vidéo promo du jeu vidéo Indiana Jones et le Tombeau de l'Empereur (1mn44)
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