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Critique du film et du DVD Zone 2
LAND OF THE DEAD 2005

 

Alors que les morts-vivants ont pris le contrôle de la planète, les derniers survivants se sont retranchés dans des enclaves sécurisées. Pour obtenir les denrées nécessaires, des raids sont organisés dans le territoire des morts grâce à un camion blindé et des unités plus mobiles…

A la fin des années 60, George A. Romero lance sur les écrans américain LA NUIT DES MORTS-VIVANTS. Tourné en noir et blanc et à l'économie, le film imposait les premières bases d'un sous genre du cinéma d'horreur qui allait s'avérer bien vite porteur. Néanmoins, il ne faudrait pas croire que les morts-vivants et autres zombies au cinéma sont nés à ce moment là. On pourrait citer WHITE ZOMBIE de Victor Halperin ou encore L'INVASION DES MORTS-VIVANTS, sorte de remake du film précité et réalisé par John Gilling pour le compte de la Hammer. Ce dernier a d'ailleurs la particularité de contenir une séquence onirique portant déjà les germes de ce que seront les morts-vivants modernes à la Romero. Néanmoins, LA NUIT DES MORTS-VIVANTS est assurément le film de morts-vivants qui pose les repères et jalons du genre : invasion à grande échelle, contamination, cannibalisme, état de siège… Sur un canevas assez similaire, Romero dirigera quelques années plus tard THE CRAZIES où une contamination mystérieuse s'étend dans une petite ville américaine obligeant les autorités à prendre des mesures draconiennes. Mais le véritable retour aux morts-vivants de Romero se fera grâce à Dario Argento qui lui propose de produire une suite. DAWN OF THE DEAD, ou ZOMBIE en France, terminera de planter avec brio le décor apocalyptique du film de mort-vivant. Mais plutôt que d'enchaîner les métrages pour profiter de son succès, Romero laisse passer la meute de morts-vivants de tous horizons avant de se remettre au travail sur un troisième volet intitulé LE JOUR DES MORTS-VIVANTS. Moins brillant que ses prédécesseurs, le film réussit tout de même à apporter une véritable progression de l'univers dépeint dans ses deux premieres oeuvres du genre.

Mais, suite à cela, une vingtaine d'années s'écoule où Romero espace de plus en plus ses tournages ce qui le mènera à ne tourner finalement que trois longs métrages et demi durant cette période : le très bon INCIDENT DE PARCOURS, la moitié de DEUX YEUX MALEFIQUES, LA PART DES TENEBRES et BRUISER. Très peu ! Ce qui paraît très surprenant pour un réalisateur qui a signé par le passé les films de morts-vivants déjà évoqués mais aussi CREEPSHOW qui ne passa pas non plus inaperçu à travers le monde. Mais on ne peut être que stupéfait de se rendre compte que George A. Romero a du pas mal galérer. On lui propose de travailler sur l'adaptation de RESIDENT EVIL, dont il aura déjà tourné une publicité pour le jeu vidéo, mais il sera finalement débarqué. Un comble ! Pour son quatrième film de morts-vivants, le financement ne se fait pas non plus d'un claquement de doigt. Il entre en contact avec de gros studios dont la Fox qui traînera des pieds près d'un an et demi avant que Romero ne reprenne ses billes pour finalement rencontrer Mark Canton qui permet enfin de placer le projet sur ses rails. Mais le film ne se verra attribuer qu'une enveloppe de 15 millions de dollars. Certes le plus gros budget des quatre films de morts-vivants réalisés par Romero mais bien en dessous des sommes dépensées sur un RESIDENT EVIL ou encore L'ARMEE DES MORTS, remake du ZOMBIE original, qui placent chacun sur l'écran environ le double ! A l'évidence, être l'initiateur d'un genre ne vous assure pas une place en or à Hollywood même si l'industrie cinématographique commence à déterrer de manière industrielle les morts pour le meilleur (les titres déjà cités) ou pour le pire (HOUSE OF THE DEAD…).

Si l'on ne peut pas reprocher à George Romero d'essayer de se relancer dans un genre de nouveau à la monde, étant donné qu'il a ramé depuis pas mal d'années pour monter son film, il se retrouve tout de même au milieu d'un véritable paradoxe. A près de soixante dix ans, il n'est plus le chef de file mais se retrouve dans le peloton des suiveurs et ne doit la mise en chantier de son film qu'au revival soudain d'un genre qu'il a lui-même forgé. Une position donc peu confortable auquel s'ajoute la dure tâche de devoir donner une suite à trois films vénérés par les amoureux du cinéma d'horreur. L'annonce de ce quatrième opus a donc suscité de fortes attentes qui ont provoqué autant de désillusions ou de frustration en comparaison des fantasmes de fans. Qu'on se le dise, LAND OF THE DEAD n'est pas un film qui marquera autant les esprits que LA NUIT DES MORTS-VIVANTS ou ZOMBIE mais il s'avère tout de même supérieur au JOUR DES MORTS-VIVANTS. D'ailleurs, ce nouveau film se rattache de manière complètement cohérente dans l'oeuvre de Romero. Cette nouvelle pierre à l'édifice est entièrement dans la continuité des métrages précédents. Pas question de donner un coup de jeunes aux cadavres déambulant dans les rues, l'évolution des morts ne se jouera pas sur leurs prouesses athlétiques comme dans L'ARMEE DES MORTS ou 28 JOURS PLUS TARD qui n'avaient de toutes façons rien inventé puisqu'Umberto Lenzi, dans les années 80, faisait déjà galoper ses zombies dans L'AVION DE L'APOCALYPSE.

En apparence moins désespérée, le film place son récit dans une situation de statu quo où l'humanité a survécu dans des bastions protégés avec d'un côté les riches dans leur tour d'ivoire et, en bas, la populace qui assure le bien être des puissants. Un schéma qui n'est pas sans rappeler la science-fiction des années 70 avec, en tête, SOLEIL VERT. A la différence des autres films de zombies et autres morts-vivants vus sur les écrans dernièrement, Romero développe un propos bien plus intelligent. Mais, à force qu'on lui ait répété qu'il était un auteur et que ses oeuvres étaient politiques, il a du se sentir obligé de développer grandement cet aspect quitte à souligner au marqueur, rouge sang bien sûr, une critique sociale et politique de l'Amérique et même du monde entier. Idée géniale de voir le territoire des morts comme le tiers monde où les plus évolués viennent faire acte d'ingérence en pillant les ressources qui s'y trouvent. LAND OF THE DEAD prend vite la tournure d'une caricature à peine camouflée de notre monde actuel (inégalités sociales, revendications armées ou pacifiques, corruption…). George Romero en arrive à la conclusion que la menace se trouve parmi ceux qui nous dirigent et certainement pas dans les populations soumises, incomprises ou même carrément lobotomisées. Etrangement, avec l'âge, George Romero a semble t'il retrouvé une lueur d'optimisme clôturant son film de manière moins apocalyptique. Ajoutons aussi que c'est le film de la série où l'on retrouve un côté EC Comics bien plus évident, puique cela fait partie des inspirations du cinéaste, dans la partie mettant en scène une vengeance d'outre-tombe à l'intérieur du parking.

LAND OF THE DEAD, cela reste en tout cas, un film de morts-vivants pur jus où Romero a manifestement tiré les leçons du JOUR DES MORTS-VIVANTS. Quasiment aucun temps mort sur l'heure et demi de métrage qui balance sans arrêt un foisonnement d'idées et de séquences sympathiques où le gore s'avère plus que présent. Avec George Romero, pas non plus question de bouger sa caméra en branlo-vision pour camoufler le festin des morts. Il adopte toutefois une mise en scène plus énergique que celle du JOUR DES MORTS-VIVANTS et offre un compromis entre un cinéma classique et un emballage moderne. Du vrai cinéma, donc ! Seul écueil, George Romero n'a pas les moyens de ses ambitions et le film doit s'accommoder d'un budget maigrelet. La quinzaine de millions de dollars, LAND OF THE DEAD réussit quand même a les transcender en offrant un spectacle de grande qualité et il s'impose sans aucun problème comme ce qui a été fait de mieux dans le genre ces dernières années.

Pour la première fois sur la série des morts-vivants, le cinéaste bénéficie d'un casting un peu plus renommé qu'à l'accoutumée. Le héros prend les traits un peu passe-partout de Simon Baker, sûrement pas le personnage le plus charismatique de la planète mais en tout cas parfait pour interpréter un rôle d'anti-héros qui est assez proche de ceux rencontrés dans certains des films de Carpenter comme INVASION LOS ANGELES. Asia Argento apporte une touche féminine peu nécessaire au récit, John Leguizamo joue les rebelles et Dennis Hopper cabotine pour notre plus grand plaisir en campant un détestable homme politique plus vrai que nature ! Tom Savini, s'il ne s'occupe pas des effets spéciaux, apparaît dans un clin d'oeil amusant à ZOMBIE. Plus anecdotique, les habitués des productions Charles Band reconnaîtront Phil Fondacaro dans un petit rôle rigolo alors que les auteurs de SHAUN OF THE DEAD prennent la pose en morts-vivants…

LAND OF THE DEAD n'est pas le chef d'oeuvre que certains attendaient. C'est juste un excellent film. Et, un excellent film, c'est déjà beaucoup ! Surtout qu'avec des dizaines de zombies avariés sur les écrans ces derniers temps, George Romero partait avec un sacré handicap. Force est de reconnaître que le cinéaste n'a rien perdu de son mordant, à l'instar de ces créatures, avec un LAND OF THE DEAD mortellement attractif qui se boucle en feu d'artifice en attendant une suite... Elle serait déjà en négociations suite au succès rencontré dans les salles hors des Etats-Unis et aux ventes américaines de DVD !

Pour sa sortie en DVD, Wild Side propose, comme dans les autres pays, de mettre en boutique deux versions du film. Le montage, tel que vu dans les salles de cinéma, pour un DVD basique qui a tout de même la particularité de proposer le doublage français avec un mixage DTS en plus des pistes Dolby Digital 5.1 d'usage. Nous n'avons pas vu cette édition DVD puisque nous n'avons eu entre les mains que la version dite «Collector». Celle-ci se caractérise par la présence d'un second DVD, avec les suppléments, mais aussi par la présentation d'une version «Director's Cut». En réalité, une seule scène est véritablement nouvelle et donne d'ailleurs quelques nouveaux indices concernant le processus du passage de trépas à la vie (!). Pour le reste, ce sont des tas de plans qui insistent un peu plus sur les effets gores, parfois très brièvement ou tellement subtilement que l'on ne s'en aperçoit pas forcément, ou bien encore en ajoutant quelques giclettes ici ou là. Il y a fort à parier que ce nouveau montage va susciter autant de déceptions que la sortie en salles en avaient provoqué auprès de certains fans qui attendaient une boucherie. En tout cas, ne serait-ce que pour l'inclusion de la nouvelle séquence mettant en scène le personnage Cholo (John Leguizamo), il sera difficile de retourner ensuite sur la version cinéma. Par contre, pour les complétistes, il sera regrettable de s'apercevoir qu'il a été choisi de ne pas inclure la version cinéma dans l'édition «Collector» !

Que ce soit l'édition simple ou la «Collector», Wild Side a fait apposer le label THX sur ses disques. Sur la version que nous avons vu, il faut bien avouer que le boulot est de très haut niveau. A ce propos, c'est la première fois que George Romero tournait dans un format large (2.35) et il faut reconnaître que la mise en image est très réussie. Ce qui est retranscrit parfaitement sur le transfert 16/9 au cinéma respecté de toute beauté du DVD de l'édition «Collector».

Contrairement à l'édition simple, celle avec le «Director's Cut» ne comporte pas de piste DTS en français. A la place, Wild Side a eu l'excellente idée de placer une piste DTS mais pour la version originale. On retrouve bien évidemment la version originale sous-titrée ainsi que le doublage français en Dolby Digital 5.1. Si nous préférons la puissante piste DTS, les pistes Dolby Digital font tout de même un bon boulot. Par contre, pour les amoureux du gros son, on notera une faute de goût, déjà constaté sur d'autres disques labellisés THX. En effet, lorsque l'on fait le choix de visionner le film en DTS, au lancement, le logo THX est dénué de son puisque seulement en Dolby Digital 5.1. Donc, à moins de jongler avec sa télécommande, on ne peut pas bénéficier d'un petit frisson supplémentaire en introduction du film ! Ce souci a été constaté sur d'autres éditions DVD que celles édités par Wild Side et on ne peut donc pas le voir comme un défaut inhérent à l'éditeur.

En amorce du disque, nous avons droit à quelques bandes-annonces Wild Side. Il est heureusement possible de les zapper ou de se rendre directement au menu. Parmi celle-ci, on peut voir cla bande-annonce du LABYRINTHE DE PAN de Guillermo Del Toro. Mais, en fait, le seul véritable supplément relatif au film sur le premier disque est un commentaire audio de George A. Romero accompagné du producteur Peter Grunwald et du monteur Michael Doherty. Plus de quatre vingt dix minutes à écouter Romero s'exprimer sur son film devrait être un bonheur. Ce n'est malheureusement pas le cas tant les non-interventions sont fréquentes laissant du temps sans rien… De plus, la plupart des informations données se trouvent présentent dans les autres suppléments. Il y a tout de même quelques petites choses en plus mais ce n'est pas la verve des interlocuteurs qui motivera l'écoute intégrale de ce commentaire audio. Romero avait pourtant réussi quelques commentaires audio par le passé comme sur le DVD américain de THE CRAZIES. On notera aussi la faute, sur le menu du commentaire audio, concernant le nom du monteur.

Sur le second disque, les suppléments sont répartis dans plusieurs catégories et il y a de fortes chances que personne n'ira voir la dernière puisqu'elle ne regroupe que des liens internet. Dans la première, on trouve trois parties. La première est un Making Of traditionnel peu informatif mais distillant images de tournage, extraits et allocutions de différents intervenants qui ont l'air tout heureux d'être là. Simon Baker n'y est d'ailleurs pas à son avantage donnant l'impression d'être un gamin qui a du mal à s'exprimer, tout émerveillé de se retrouver dans cet univers. Cette impression de tournage détendu et sympathique, on la retrouve dans le deuxième supplément où l'on suit John Leguizamo qui déconne en nous faisant faire un petit tour de l'envers du décor. Certaines des interventions sont franchement marrantes, comme celles où il rencontre Dennis Hopper, et d'autres beaucoup moins.

La troisième vidéo s'avère la plus intéressante. Bizarrement le menu indique «Retour à la vie» alors que le sous-titrage dans le supplément lui-même nous donne une autre interprétation ce qui ajoute encore un petit défaut esthétique dans la partie purement technique des menus. En tout cas, ce supplément donne un gros coup de projecteurs sur Greg Nicotero et son travail de maquilleur. Entre autres, on y apprendra, par Romero, qu'au moment de l'écriture de ZOMBIE, alors qu'il se trouvait à Rome, un tout jeune Greg Nicotero l'accoste pour lui parler dans un restaurant. Le même qui deviendra donc le maquilleur qui s'est occupé d'animer les morts du film ou d'opérer de sanglants effets. La durée assez courte ne permet pas de survoler sa carrière mais offre un portrait assez amusant du personnage.

La partie «George Romero» contient une interview du réalisateur exclusive à ce DVD. Elle a le mérite de sortir un peu des interventions déjà vus précédemment car elle sort un peu du cadre purement "promo" des autres suppléments. Les plus curieux attendront la fin du générique pour découvrir quelques images de Romero supplémentaires. On retrouve aussi une filmographie du réalisateur et on se demande d'ailleurs pourquoi Wild Side n'a pas profité de l'endroit pour y placer d'autres films distribués par l'éditeur tel que SEASON OF THE WITCH ou THE CRAZIES, tous deux réalisé par le cinéaste. En ce qui concerne MARTIN, qui sort à la même date que LAND OF THE DEAD, la bande-annonce est tout de même disponible sur le DVD dans une autre section. Dans la partie "George Romero", on trouve aussi une vidéo amusante concernant le voyage des deux créateurs de SHAUN OF THE DEAD sur le tournage de LAND OF THE DEAD. Leur rencontre avec Romero est succincte et il s'agit plus du côté «fan» qui est mis en avant.

La catégorie suivante permet de voir des images brutes à l'intérêt très inégal. Une petite vidéo sans commentaire nous donne un aperçu des plans avant l'ajout d'effets numériques et après. Souvent, ce genre de supplément est assez laborieux mais celui-ci a de quoi étonner pour deux raisons. La première, c'est que cela comble un petit vide concernant le peu d'informations techniques à propos du film entendu dans les autres suppléments. Et, ensuite, certains effets numériques sont bluffants ! Car si à la vision de LAND OF THE DEAD, des effets numériques étaient décelables, il faut avouer que pour d'autres on ne se posait même pas la question de modification dans les décors. Une autre vidéo montre une animation numérique, non finalisée, où des zombies dansent sur une vague chorégraphie rappelant l'incontournable THRILLER. Ce n'est pas joli, on ne sait pas d'où ça sort puisqu'il n'y a pas de commentaire et donc cela n'a finalement aucun intérêt. Enfin, pour les amateurs de gore, «La scène du carnage» aligne des images de dégustation des zombies tirés, à première vue, directement du film.

La dernière partie, si l'on omet les liens internet, offre encore quelques minutes de scènes coupées envoyées. La plupart des plans ou des scènes sont assez anecdotiques et semblent plus être des plans de transition qu'autre chose. «Un story-board prend vie» est, comme son nom l'indique, une comparaison entre le plan de travail animé du film et la version finale. On peut encore visionner une quarantaine de photos diverses (tournage, posées…) dans la galerie prévue à cet effet. Pour terminer cette section, on retrouve donc des bandes-annonces alignées les unes après les autres pour LAND OF THE DEAD mais aussi MARTIN ou encore SIN CITY. A propos de la bande-annonce de LAND OF THE DEAD, on notera que des images de LA NUIT DES MORTS-VIVANTS y sont utilisées. Assez curieux dans le sens où Romero explique dans son commentaire audio qu'il ne leur avait pas été possible d'utiliser des images du premier film dans le générique.

Finalement, l'interactivité de LAND OF THE DEAD n'a rien de très emballant. La faute à des suppléments américains très superficiels repris tel quel par Wild Side. L'éditeur aura tout de même fait l'effort de proposer une interview réalisée spécialement pour l'occasion. D'autres éditeurs auraient plutôt tendance à ne rien faire du tout quitte à supprimer des choses. A l'arrivée, on n'apprend pas grand chose de spécial sur le film même si la vision de certains des suppléments s'avèrent plutôt sympathique (la partie sur Greg Nicotero ou encore la visite de Simon Peg et Edgar Wright).

Rédacteur : Christophe Lemonnier
Photo Christophe Lemonnier
Ancien journaliste professionnel dans le domaine de la presse spécialisée où il a oeuvré durant plus de 15 ans sous le pseudonyme "Arioch", il est cofondateur de DeVilDead, site d'information monté en l’an 2000. Faute de temps, en 2014, il a été obligé de s'éloigner du site pour n'y collaborer, à présent, que de manière très sporadique. Et, incognito, il a signé de nombreuses chroniques sous le pseudonyme de Antoine Rigaud ici-même.
55 ans
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573 critiques Film & Vidéo
4 critiques Livres
On aime
Un excellent film de morts-vivants
Piste DTS pour la version originale
On n'aime pas
Des suppléments nombreux et sympathiques mais où l'on n'apprend pas grand chose
Quelques anicroches sur les menus
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L'édition vidéo
LAND OF THE DEAD DVD Zone 2 (France)
Editeur
Wild Side
Support
2 DVD
Origine
France (Zone 2)
Date de Sortie
Durée
1h37
Image
2.35 (16/9)
Audio
English DTS 5.1
English Dolby Digital 5.1
Francais Dolby Digital 5.1
Sous-titrage
  • Français
  • Supplements
    • Commentaires audio de George A. Romero, Peter Grunwald et Michael Michael Doherty
    • Les morts-vivants de retour (Making Of - 12mn30)
    • Une journée avec les zombies (7mn28)
    • Retour à la vie (9mn24)
    • Quand Shaun rencontre George (12mn50)
    • Entretien avec George A. Romero (26mn22)
    • Filmographie de George A. Romero
    • Zombie party (1mn02)
    • La scène du carnage (1mn40)
    • Les effets spéciaux (3mn16)
    • Scènes coupées (2mn52)
    • Un story-board prend vie (7mn48)
    • Galerie photos
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