CRITIQUE : SHOCK CORRIDOR EXTREME (CANNES 2010)

Le relief se porte plutôt bien si l'on en croit le grand nombre de films produits et annoncés en 3D. Parmi les cinéastes que l'on n'attendait pas forcément dans ce registre, il y a Takashi Shimizu qui, heureusement, n'a pas décidé de refaire une nouvelle fois sa série des JU-ON : THE GRUDGE en relief. A la place, le cinéaste japonais livre tout de même un métrage qui adopte les ficelles d'un cinéma qui s'est essoufflé depuis plusieurs années déjà après le succès de RING. Eric Dinkian a pu voir, avec des lunettes sur le nez et donc en 3D, le nouveau Takashi Shimizu qui s'intitulait au moment de la projection SHOCK CORRIDOR : EXTREME. Néanmoins, il est à noter que le film est sorti en Allemagne sous le titre de THE SHOCK LABYRINTH : EXTREME et on se demande un peu sous quel patronyme nous verrons débarquer le métrage dans nos contrées tout en se posant la question de son mode de distribution (cinéma ? vidéo ?).
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