CRITIQUE : SAMURAI PRINCESS (SMIHFF 2009)
Derrière la caméra de SAMURAI PRINCESS, on trouve ceux qui nous avaient déjà donnés quelques folies cinématographiques telles que TOKYO GORE POLICE et, plus récemment, VAMPIRE GIRL VS FRANKENSTEIN GIRL. Avec ce nouvel essai, la même recette est conservée avec de jolies nanas qui combattent au milieu de geysers de sang et le plus souvent dans des situations aussi gore et sexy mais toujours surréalistes. Cette vague de métrages japonais complètement déjantés ne semblent pas vouloir se tarir mais on peut tout de même se demander si les films ne commencent pas à toucher du doigt une certaine redondance. Dans sa chronique de SAMURAI PRINCESS, qu'il a pu voir dans le cadre du SMIHFF, Eric Dinkian répond à cette interrogation.
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On en profite pour vous replacer les chroniques des autres métrages sur lesquels a oeuvré le maquilleur et cinéaste Yoshihiro Nishimura...