CRITIQUE : EMBODIMENT OF EVIL (SMIHFF 2009)
Carrément iconoclaste, dans les années 60, le cinéaste José Mojica Marins lançait un pavé cinématographique avec A MINUIT, J'EMPORTERAIS TON AME. Car le métrage, et sa suite, n'y allait pas de main morte avec la religion dans un pays, le Brésil, ayant une forte communauté catholique. Une quarantaine d'années plus tard, le réalisateur signe un nouveau film et l'âge n'a pas eu de prises sur les visions délirantes du cinéaste. Bien au contraire, ENCARNACAO DO DEMONIO (ou bien, en anglais, EMBODIMENT OF EVIL) surprend par sa liberté de ton, son inventivité, son sens de la provocation… Eric Dinkian a vu le film dans le cadre du SMIHFF, Sainte Maxime International Horror Film Festival, ce qui lui donne l'opportunité de vous en dire du bien dans sa chronique à la lire en cliquant sur l'affiche ci-dessous…