CRITIQUE : CAPRICE
Si pour beaucoup, les AUSTIN POWERS sont des parodies des films de James Bond, il ne faudrait pas oublier pour autant l'influence évidente qu'ont pu avoir les autres métrages d'espionnage des années 60. Attitude décontracté et coloré, on pense bien évidemment aux FLINT avec James Coburn, aux Matt Helm avec Dean Martin ou encore FATHOM avec Raquel Welch. Dans cette mouvance flirtant souvent avec les lisières du Cinéma Fantastique, on trouve aussi CAPRICE. Bien sûr, l'élément un poil "science fictionnelle" sert plus de prétexte au développement d'une intrigue qui pourrait très bien utiliser tout autre procédé. Comme c'est l'été, Francis Barbier se fait, en tout cas, plaisir et nous parle de CAPRICE au travers de l'édition DVD américaine dont vous pouvez lire la chronique en cliquant sur la jaquette ci-dessous…