CRITIQUE : BLACK DEVIL DOLL (CANNES 2009)

Remake à peine avoué de BLACK DEVIL DOOL FROM HELL, le premier métrage produit par Rotten Cotton met donc en scène une poupée bien plus sexuée que son camarade Chucky. En effet, BLACK DEVIL DOLL laisse les coudées franches à son vilain de plastique qui se jette sans complexe sur tout le casting féminin aux formes aussi généreuses que surnaturelles. Humour gras, gore et nanas à poil sont ainsi les mamelles de ce métrage terminé depuis quelques temps déjà et qui racolait les acheteurs et distributeurs lors du dernier Marché du Film à Cannes. Xavier Desbarats ne voulait voir qu'un seul film et c'était celui là. Est-ce qu'il a été comblé ? La réponse dans sa chronique à lire en cliquant sur l'affiche ci-dessous…