CRITIQUE : LE DIABLE DANS LE SANG
En Angleterre, son pays d'origine, le premier long métrage de Bruce Dickinson, chanteur d'Iron Maiden, porte le titre de CHEMICAL WEDDING à l'instar de l'un de ses albums solo. Pour les Etats-Unis, ce sera CROWLEY alors qu'en France le film vient juste de sortir sous le patronyme très passe-partout de LE DIABLE DANS LE SANG. Le métrage met en avant une figure sulfureuse de l'occultisme, Aleister Crowley, qui a réellement existé. Sacrifices, orgies sexuelles et sombres cérémonies, Nicolas Lopez fait le tri dans sa chronique du DVD où il vous parle de nouveau, et en détail, du film et, bien évidemment, des suppléments.
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Pour ceux qui l'ont loupé et si vous voulez en savoir encore plus, vous pouvez vous reporter à notre précédente chronique du film ainsi qu'à une interview de Bruce Dickinson…