CRITIQUE : MEGA SNAKE

Les bestioles, Tibor Takacs commencent à bien connaître après avoir déjà mis en boîte des rats, des araignées ou une pieuvre dans plusieurs métrages. Avec MEGA SNAKE, il n'y a pas de surprise puisque le nom du film dévoile que nous allons avoir à faire à un serpent maousse. De taille hors norme, la bestiole va se mettre à boulotter les êtres humains qui feront l'erreur de stationner sur son passage. Avec son style assez particulier, Francis Barbier nous tire le portrait de gros serpent dans sa chronique à lire en cliquant sur la jaquette ci-dessous…