CRITIQUE : DRACULA VIT TOUJOURS À LONDRES
Depuis plusieurs années, Emmanuel Denis propose chaque semaine une critique d’un film explorant le cinéma horrifique depuis ses débuts. Si vous suivez ce voyage chronologique, vous avez forcément noté que l’évolution de la société et le passage du temps changent les représentations du genre à l’écran. Des maisons de production ont ainsi connu leurs heures de gloires avant d’abandonner le créneau ou tenter vainement de suivre les attentes du public. C’est le cas de la Hammer qui, à l’aube des années 70, a bien du mal à suivre les attentes d’un large public tout en perdant les puristes. DRACULA VIT TOUJOURS À LONDRES de Alan Gibson en est un bel exemple et, pour en savoir plus, il ne vous reste plus qu’à lire la critique en cliquant sur la bonne image ci-dessous...