CRITIQUE : HARLEQUIN
A la fin des années 70, une vague de films de genre australiens commença à déferler sur le monde. Des auteurs comme Peter Weir et des titres comme PIQUE-NIQUE A HANGING ROCK ou encore LA DERNIERE VAGUE attisèrent la curiosité du public. Arrive de ce fait un titre comme HARLEQUIN, réalisé en 1980 par Simon Wincer.
Déjà auréolé de SNAPSHOT, comme beaucoup de ses congénères australiens, il émigra aux USA pour entamer une carrière émaillée de D.A.R.Y.L. ou encore MR QUIGLEY, L'AUSTRALIEN et HARLEY DAVIDSON ET L'HOMME AUX SANTIAGS. Il livre avec HARLEQUIN une oeuvre bizarre, avec Robert Powell dans le rôle d'un énigmatique magicien/guérisseur moderne aux airs de Raspoutine, manipulant la carrière et la vie d'un homme politique ayant les traits de David Hemmings.
Le film arrive enfin en France par l'entremise de Rimini Films, dans un combo Blu Ray/DVD. L'éditeur nous ayant envoyé le tout, voici donc l'édition Blu Ray décortiquée par nos soins.
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