CRAWL : HD US OU FRANCAISE ?

5 octobre 2019 
CRAWL : HD US OU FRANCAISE ?

Si vous êtes fan de requins... euh... crocodiles qui attaquent des personnes coincées lors d'une violente tempête, la série B CRAWL est peut-être faite pour vous. Sortie astucieusement le 12 juillet 2019 par Paramount aux USA, dans un marché relativement vide de sensations fortes, et le 24 juillet en France, la méthode fut payante, le film récoltant quelques 471 720 entrées France, un score assez inespéré, pour un total mondial de recettes de 88 millions de $ (coût initial annoncé à 13.5 milllions de $, hors coût de marketing et publicité).

Voici donc qu'arrivent les éditions sur supports physiques. C'est aux USA que Paramount lance l'attaque, via une édition Blu Ray + DVD + Digital dès le 15 octobre. Vous noterez la petite différence entre l'affiche cinéma et les jaquettes. Codée région A pour le Blu Ray, il y aura une piste anglaise DTS HD MA 7.1 et, entre autres doublages, une VF seulement en Dolby Digital 5.1 compressé, mais également des sous-titres français. Plusieurs suppléments garnissent le tout, dont un début alternatif, les effets spéciaux des bestioles, un making of de 28mn, une introduction par le réalisateur, des scènes coupées, et une compilation des attaques des crocs. 88mn, 1080p, et au format 2.40:1.

Concernant la France et la région B, il faudra attendre le 4 décembre 2019. Pour un contenu... dont on ne connait rien pour le moment. Mais visiblement, il n'y aura pas de combo ni de copie digitale. Patience, donc, mais avec de fortes chances de retrouver à l'identique ce qui se trouve sur la galette US.

A vous de voir, donc, en fonction du degré d'urgence de détenir le produit et de vos capacités linguistiques.

Visuels cinéma, Blu Ray US et français :

Jaquettes
Jaquette : Crawl
Jaquette : Crawl
Posters
-
France
Rédacteur : Francis Barbier
Photo Francis Barbier
Dévoreur de scènes scandinaves et nordiques - sanguinolentes ou pas -, dégustateur de bisseries italiennes finement ciselées ou grossièrement lâchées sur pellicule, amateur de films en formats larges et 70mm en tous genres, avec une louche d'horreur sociale britannique, une lampée d'Albert Pyun (avant 2000), une fourchettée de Lamberto Bava (forever) et un soupçon de David DeCoteau (quand il se bouge). Sans reprendre des plats concoctés par William Friedkin pour ne pas risquer l'indigestion.
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