CRITIQUE : JULIA (CANNES 2014)

Sobrement intitulé JULIA, le premier long-métrage de Matthew A. Brown s'engage dans une voie plutôt sulfureuse, celle du "Rape and Revenge" . A l'instar des infortunées héroïnes de L'ANGE DE LA VENGEANCE ou de OEIL POUR OEIL, la jeune femme qui donne son prénom au film est la victime d'une atroce agression sexuelle. L'intrigue tente tout de même de s'écarter un peu de la recette habituelle comme nous l'explique Francis Barbier qui a pu voir le film lors du Marché du Film à Cannes au mois de mai dernier.
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