CRITIQUE : OCCHIO, MALOCCHIO, PREZZEMOLO E FINOCCHIO
En Italie, on trouve pas mal de films à sketches et c'est l'un d'entre eux dont nous parle aujourd'hui Francis Barbier. Mis en scène par Sergio Martino, OCCHIO, MALOCCHIO, PREZZEMOLO E FINOCCHIO est sorti très récemment dans les kiosques italiens. Comme en France, la presse italienne propose donc des collections vidéo. Ainsi la Gazzetta dello Sport, la version transalpine de l'Equipe, propose des collections dédiés à Stallone, Bruce Lee ou encore Clint Eastwood. Mais au milieu, on trouve aussi des produits typiquement italien à l'image de la collection Paolo Villagio ou celle consacrée à Toto. On trouve donc des titres qui n'ont souvent pas grand-chose à voir avec le sport comme TOTO DANS LA LUNE ou encore, à paraître la semaine prochaine, L'ESORCICCIO mettant en scène Ciccio Ingrassia et Lino Banfi. Ce film sort justement dans une collection consacré à Lino Banfi et dont est issu OCCHIO, MALOCCHIO, PREZZEMOLO E FINOCCHIO. Evidemment, la plupart des titres sont des rééditions avec changement de jaquette mais pas de contenu comme nous l'explique Francis Barbier dans sa chronique...
Pour l'anecdote, vous trouverez ci-dessous la jaquette de la version kiosque du film ainsi que celle sortie à l'origine...