CRITIQUE : DOOD EIND
Francis Barbier est un collectionneur de DVD très particulier. Pendant que certains accumulent le maximum de disques, lui, il fait de même mais il met un point d'honneur à aller dénicher les disques là où on ne regarde pas d'habitude (Pologne, Tchécoslovaquie...). Une pratique particulière qui lui permet aussi de découvrir des films, bons ou mauvais, qui ne poseront probablement jamais leur pellicule sur un projecteur français. C'est le cas de DOOD EIND qu'il a été pêcher en Hollande. Comme, de plus, il est partageur, il vous en parle dans une chronique à lire en cliquant sur le visuel tordu ci-dessous (« Hey ! Oh ! Avec tous les DVD que j'achète, j'ai pas le temps de faire l'acquisition d'un scanner, moi ! » qu'il nous répond !)...