CRITIQUE : HORRIBILIS
Je ne suis pas sûr que beaucoup auront osé le rapprochement mais d'après Xavier Desbarats, avec HORRIBILIS, James Gunn joue au "Tarantino". Il faut évidemment préciser que le film du versatile James Gunn, il passe de Troma à SCOOBY-DOO, est bourré de références au cinéma d'horreur que ce soit dans les situations, les personnages, les noms et même certaines scènes qui sont détournées ! Les scènes coupées, pas toujours utiles, continuent d'ailleurs sur la même lancée pour bien enfoncer le clou comme ce petit jeu, devenu récurrent, entre le shérif et son adjoint qui renvoie directement aux deux personnages principaux de TREMORS. Mais n'en disons pas plus et si vous n'avez pas encore eu la chance de découvrir HORRIBILIS, lisez la chronique pour être convaincu d'être passé à côté de quelque chose en 2006 !
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