CRITIQUE : DRACULA
Avec l'arrivée du CHANTEUR DE JAZZ, le cinéma muet va disparaître petit à petit et l'épouvante va donc abandonner les intertitres et s'armer de pistes audio effrayantes. C'est le cas de DRACULA, le grand classique mettant en scène Bela Lugosi et mis en image par Tod Browning ! Nous avions déjà abordé ce film à deux reprises lors de sorties DVD mais Emmanuel Denis revient aujourd'hui sur l'histoire de cette oeuvre fantastique en nous donnant des informations supplémentaires. Il est bon de noter que ce texte s'intéresse exclusivement à la version de Tod Browning, laissant de coté volontairement le film tourné en parallèle avec Carlos Villarias pour le marché hispanique.
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