AFTER DARK ORIGINALS 2
Ayant connu un certain succès avec les festivals "8 Films to Die For : After Dark Horrorfest", After Dark Films s'est mis à produire ses propres longs-métrages plutôt que de distribuer des œuvres déjà toutes faites. Les films rejoignent ainsi le label "After Dark Originals" qui est distribué dans quelques salles aux Etats-Unis avant d'être commercialisé en vidéo. Après une fournée de huit films, la maison de production américaine s'occupe en ce moment d'une deuxième salve. "After Dark Originals 2" sera composé une nouvelle fois de huit films. Nous avions parlé du premier, DARK CIRCLES, au début de l'année dernière (voir news du 3 février 2012). Depuis, After Dark Films en a dévoilé quatre autres : RED CLOVER, ASYLUM, CHILDREN OF SORROW et, depuis aujourd'hui, SANATORIUM. Ce cinquième titre de la collection ne fait, en tout cas, pas dans l'originalité. En effet, le métrage s'intéresse à une équipe qui installe ses caméras dans un vieux sanatorium abandonné histoire d'y repérer des phénomènes surnaturels.
Avec son titre très commun, ASYLUM semble bien plus intéressant surtout qu'il met en scène Stephen Rea et Bruce Payne. Cela se déroule donc dans un asile où un négociateur des forces de l'ordre va être confronté à une situation inattendue. En effet, alors qu'il est habituellement face à des preneurs d'otage, cette fois, il va devoir négocier avec des entités maléfiques !
Avec RED CLOVER, on va retrouver une fameuse créature du folklore irlandais déjà utilisé à plusieurs reprises au cinéma, le leprechaun. Pour sauver sa ville du maléfique lutin qui assassine à tour de bras en quête d'or, une jeune femme et sa famille va devoir le combattre. Le métrage permettra de retrouver Billy Zane mais aussi William Devane.
Enfin, parlons de CHILDREN OF SORROW, avant que les trois derniers titres de "After Dark Originals 2" ne soit annoncé à l'avenir. Le sujet est plutôt intrigant puisque l'on pourra suivre un gourou qui emmène ses adeptes, des personnes désespérées par leur vie et en quête d'un avenir meilleur, au beau milieu du désert. Et manifestement, le gourou a des très mauvaises intentions, le métrage s'inspirant à l'évidence des tristes faits divers à base de sectes.