L'EAU DOUCE QUI COULE DANS MES VEINES
Nos fidèles lecteurs se souviendront peut être que nous avions publié en 2011 une chronique de DESTRUCTION MASSIVE, un métrage réalisé dans des conditions "amateurs" et doté d'un budget proche du néant. Et bien sachez que son réalisateur Maxime Kermagoret s'est lancé l'année dernière dans un nouveau projet intitulé L'EAU DOUCE QUI COULE DANS MES VEINES. Initialement prévu pour être un moyen-métrage, le film vient finalement d'aboutir sur un montage plus ambitieux d'environ soixante-quinze minutes. Devant la caméra nous trouverons Guillaume Frank ainsi qu'une actrice du nom d'Elodie Vagalumni. Bien que novice dans ce type d'aventure, elle hérite ici d'un premier rôle délicat, physique aussi bien que dramatique. Celui d'une jeune femme instable qui accepte un job consistant à lire des poèmes à un individu en fin de vie. Peu à peu, la régularité de ces échanges s'avérera salvatrice et aidera la lectrice à quitter l'obscurité dans laquelle elle évoluait... Un sujet intrigant donc, pour un film au budget là encore serré, et présenté en grande partie en noir et blanc. Pour juger de la qualité, il n'y aura pour l'instant qu'une seule solution : cocher la date du 27 juin sur vos agendas et vous rendre le jour J au Cinéville de Lorient, pour une projection exceptionnelle à 20h, en présence de l'équipe du film. Précisons toutefois que le métrage n'est pas mettre devant toutes les mirettes puisqu'il contient dans son montage actuel des séquences sexuellement explicites. En attendant, n'hésitez pas à jeter un œil aux deux teasers, ainsi qu'aux affiches et photos de tournage présentées ci-dessous !
Vous pouvez retrouver notre chronique de DESTRUCTION MASSIVE ci-dessous...