CRITIQUE : SILENT HILL REVELATION 3D (PIFFF 2012)
Après Christophe Gans, c'est au tour de Michael J. Bassett de s'attaquer à l'univers de SILENT HILL comme nous avons pu le découvrir lors de la clôture du PIFFF, Paris International Fantastic Film Festival. Cette nouvelle adaptation de la série de jeux vidéo éditée par Konami surprend par une approche plus basique au point que l'aspect immersif est surtout généré par le relief, le film ayant été tourné en 3D. Cela n'a rien d'un compliment et Emmanuel Denis se demande dans sa chronique pourquoi ce SILENT HILL : REVELATION 3D s'avère aussi décevant de la part d'un cinéaste comme Michael J. Bassett.
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Michael J. Bassett, nous en avions parlé à plusieurs reprises en chroniquant LA TRANCHEE et WILDERNESS. Et nous avions même interviewé le cinéaste en 2007 où il nous parlait de ses premiers films mais aussi de ses influences cinématographiques. Vous pouvez retrouver tout cela grâce aux liens ci-dessous accompagné de chroniques du premier SILENT HILL, bien sûr...