PIFFF 2012 : MARDI 21 NOVEMBRE & CRITIQUE : THE SEASONING HOUSE
Nouvelle soirée au PIFFF, Paris International Fantastic Film Festival, qui nous proposait deux films menant à la dépression (pas forcément pour les mêmes raisons). Le premier, CRAVE, proposait une facture technique de grande qualité et pour cause puisque ce premier film est réalisé par un cinéaste oeuvrant dans le domaine du making-of depuis pas mal d'années. Une activité qui a permis à Charles de Laurizika de nouer des contacts à faire baver n'importe quel cinéaste qui veut se lancer dans l'aventure du long métrage ! Pour autant, le film s'inscrit de manière très indirecte dans le domaine du cinéma fantastique. On suit plus les errances, fantasmées ou pas, d'un homme qui se perd lui-même dans sa psyché. Touchant et dérangeant, le métrage a de quoi partager mais nous y reviendrons assez vite dans une chronique dédiée.
Ce qui ne nous a pas partagé, par contre, c'est THE SEASONING HOUSE. Le réalisateur avait fait le déplacement spécialement pour répondre aux questions des spectateurs. A près de minuit, les plus courageux avaient du quitter prestement la salle puisque la plupart des questions posées au cinéaste se montraient particulièrement gentilles. Personne n'ayant apparemment l'envie de bousculer le réalisateur après son grotesque spectacle. Mais on vous en dit plus dans une chronique plutôt violente mais, après tout, THE SEASONING HOUSE le mérite bien.
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Calmons nous et rappelons que ce mercredi 21 novembre, on va pouvoir découvrir le nouveau UNIVERSAL SOLDIER mais aussi THE BUTTERFLY ROOM où Barbara Steele viendra nous rappeler qu'elle fut l'une des plus belles maîtresses de l'épouvante cinématographiques…