NAKED SOLDIER

12 juillet 2012 
NAKED SOLDIER

L'année dernière, dans notre compte-rendu à propos du Marché du Film à Cannes, nous avions parlé de NAKED SOLDIER. Un nouveau métrage produit et écrit par Wong Jing à qui l'on devait déjà les sympathiques NAKED KILLER et NAKED WEAPON. Notons la régularité du cinéaste, le premier date de 1992, le second de 2002 et le nouveau sort ces jours-ci dans les salles obscures de Hong Kong. On peut donc imaginer qu'en 2022, on devrait voir débouler un NAKED FIGHTER parce que NAKED GUN, c'était sympa mais c'est aussi déjà pris… Ne nous égarons pas et revenons à NAKED SOLDIER qui reprend donc à quelques détails près la recette des œuvres précédentes : des nanas sexys, des flingues et de la castagne, le tout saupoudrés d'un soupçon de mauvais goût qui fait plaisir ! Enlevée à ses parents, une gamine est entraînée à la dure pour devenir une tueuse d'élite. Mais l'erreur, ce sera d'envoyer la jeune femme, une fois son éducation accomplie, en mission pour assassiner son propre père. En effet, bien vite, l'assassin prenant les formes de Jennifer Tse va se poser des questions… En plus de la jeune comédienne, le métrage permettra de retrouver deux vétérans de Hong Kong, à savoir Sammo Hung et Anthony Wong, le tout devant Marco Mak, cinéaste acoquiné avec Wong Jing depuis quelques temps déjà. Probabilité de voir le film sortir dans les salles en France ? Proche du zéro ! Il n'y a donc plus qu'à patienter encore quelques mois pour la sortie des éditions vidéo à Hong Kong et, pour ceux qui n'apprécient pas l'import, s'armer de patience pour une éventuelle distribution dans nos contrées en DVD et Blu-ray.

NAKED SOLDIER - Poster

Rédacteur : Christophe Lemonnier
Photo Christophe Lemonnier
Ancien journaliste professionnel dans le domaine de la presse spécialisée où il a oeuvré durant plus de 15 ans sous le pseudonyme "Arioch", il est cofondateur de DeVilDead, site d'information monté en l’an 2000. Faute de temps, en 2014, il a été obligé de s'éloigner du site pour n'y collaborer, à présent, que de manière très sporadique. Et, incognito, il a signé de nombreuses chroniques sous le pseudonyme de Antoine Rigaud ici-même.
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