CRITIQUE : TRUTH (CANNES 2012)
Quand ce ne sont pas des bandes de jeunes qui partent s'isoler dans un endroit où ils seront trucidés par une créature ou un tueur timbré, le cinéma fantastique apprécie les couples dont la routine finit par émousser les liens amoureux jusqu'au point de rupture. Et quand cela arrive, plutôt que de consulter un psychologue ou un conseiller conjugal, on change d'air pour se rendre compte qu'on n'est pas si mal à la maison avec son conjoint. La vérité, c'est ce qu'il se passe dans TRUTH où un couple va connaître tomber dans l'adultère par spectre interposé. Voilà qui est curieux mais pas autant que le traitement du film comme nous l'explique Francis Barbier qui a pu découvrir le métrage lors du dernier Marché du Film à Cannes…