CRITIQUE : MASKS (CANNES 2012)
Dans TEARS OF KALI, Andreas Marshall s'intéressait à un gourou et à ses adeptes qui utilisaient diverses techniques de manière à s'améliorer. Une demi-douzaine d'années plus tard, le cinéaste allemand revient avec MASKS dont le point de départ n'est pas si éloigné. En effet, cette fois une comédienne est confrontée à une école fondée par un mystérieux acteur décédé qui utilisaient une méthode d'apprentissage bien à lui. Pour le reste, MASKS s'écarte tout de même largement du traitement de TEARS OF KALI. Eric Dinkian a pu voir le film lors du dernier Marché du Film à Cannes et il nous en parle plus longuement dans sa chronique à lire en cliquant sur l'affiche ci-dessous…
Vous pouvez retrouver notre interview de Andreas Marshall, réalisée l'année dernière, ci-dessous, et si vous cherchez bien sur le site, vous devriez trouver une chronique de TEARS OF KALI...