CRITIQUE : BEASTLY BOYZ

Etre fan, parfois, ça a ses limites et on peut avoir un peu de mal à les comprendre lorsque l'on est quelque peu en dehors du truc. On va prendre un exemple bête genre David DeCoteau et sa production récente de films tournés au kilomètre qui marche plutôt bien sur un public ciblé aux Etats-Unis. Que la recette soit bonne ou pas, le cinéaste en aura en tout cas fait son beurre avec une cargaison de films pas toujours très enthousiasmants. Soyons honnête, la meilleure partie de sa filmographie est quand même depuis longtemps derrière lui ! Mais quand on est fan, on ne peut pas s'empêcher d'espérer à tort ou à raison même après autant de désillusions… Et là, il y a Francis Barbier qui déboule le bonheur aux lèvres en brandissant la jaquette du dernier film de David DeCoteau signé par le "maître" lui-même. Francis n'est pas à proprement parlé un "fan" de David DeCoteau mais il ne peut s'empêcher d'apprécier le bonhomme et il allait donc pouvoir découvrir ce qui s'annonce comme le renouveau d'un cinéaste si l'on en croit les affirmations quant aux ambitions de ce métrage. Et bien, oui ! Parfois, on a tort et, parfois, on a raison comme l'illustre si bien la chronique du DVD de BEASTLY BOYZ que vous pouvez lire en cliquant sur la jaquette ci-dessous…