CRITIQUE : HELLBENT
31 mars 2019
Direction Slasher, avec un plongeon dans HELLBENT, résurgence horrifico-Halloween d'un tueur masqué en diable qui décapite des jeunes hommes partis pour s'amuser. Le film était même sorti en salles françaises il y a 13 ans, à la faveur de la vague de néo-slashers initiée par l'immense succès de SCREAM. La petite différence restant que le réalisateur-scénariste Paul Etheredge effectue le premier slasher gay de l'histoire du cinéma.
Du gore dans une atmosphère festive et un tueur surmusclé à la serpe facile. Les têtes volent, le sang gicle, mais... que reste-t-il du film aujourd'hui ?
Réponse dans la critique qui revisite le DVD, ainsi que le film annonce en vostf :
Vidéos
Rédacteur :
Francis Barbier
Dévoreur de scènes scandinaves et nordiques - sanguinolentes
ou pas -, dégustateur de bisseries italiennes finement ciselées
ou grossièrement lâchées sur pellicule, amateur de films
en formats larges et 70mm en tous genres, avec une louche d'horreur sociale
britannique, une lampée d'Albert
Pyun (avant 2000), une fourchettée de Lamberto
Bava (forever) et un soupçon de David
DeCoteau (quand il se bouge). Sans reprendre des plats concoctés
par William Friedkin
pour ne pas risquer l'indigestion.
56 ans
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