CRITIQUE : ORBITA 9

31 août 2018

ORBITA 9 apparaît comme une audacieuse tentative de science-fiction... espagnole. Les titres ibères de SF existent, mais demeurent rares (encore pire en France où ils sont quasi inexistants). Et cette histoire de jeune femme, en route seule dans une station orbitale, pour une planète lointaine, avec son premier contact humain au bout de 20 ans, est intriguante... surtout avec les révélations qui vont suivre après coup !

Ce premier film du scénariste Hatem Khraiche Ruiz-Zorilla est sorti en 2017 en Espagne, puis en Blu ray espagnol il y a quelques mois, et ça tombe bien, on l'a vu. A noter que le film est visible en France non pas en format physique, mais sur une plate-forme d'abonnement dont le nom se termine par un X. Net et précis.

Pour lire la critique, pas de mise en orbite, mais un clic suffit sur l'affiche :

Critiques

Rédacteur : Francis Barbier

Dévoreur de scènes scandinaves et nordiques - sanguinolentes ou pas -, dégustateur de bisseries italiennes finement ciselées ou grossièrement lâchées sur pellicule, amateur de films en formats larges et 70mm en tous genres, avec une louche d'horreur sociale britannique, une lampée d'Albert Pyun (avant 2000), une fourchettée de Lamberto Bava (forever) et un soupçon de David DeCoteau (quand il se bouge). Sans reprendre des plats concoctés par William Friedkin pour ne pas risquer l'indigestion.

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