CRITIQUE : THE CASE OF THE SCORPION'S TAIL
31 juillet 2018
LA QUEUE DU SCORPION arrive au début du cycle des Gialli italiens, tout comme dans la carrière de son réalisateur, Sergio Martino. Avec succès, car le film aux meurtres particulièrement violents a traversé les années pour garder une certaine fraicheur et audace dans le style, tout en ayant un couple vedette , George Hilton et Anita Strindberg, à l'alchimie évidente.
Le film est arrivé depuis le 16 juillet 2018 en Blu Ray chez Arrow sous son titre anglais d'exploitation THE CASE OF THE SCORPION'S TAIL. On y a donc jeté un oeil, et même les deux, pour décortiquer son contenu. En voici la chronique :
Critiques
Rédacteur :
Francis Barbier
Dévoreur de scènes scandinaves et nordiques - sanguinolentes
ou pas -, dégustateur de bisseries italiennes finement ciselées
ou grossièrement lâchées sur pellicule, amateur de films
en formats larges et 70mm en tous genres, avec une louche d'horreur sociale
britannique, une lampée d'Albert
Pyun (avant 2000), une fourchettée de Lamberto
Bava (forever) et un soupçon de David
DeCoteau (quand il se bouge). Sans reprendre des plats concoctés
par William Friedkin
pour ne pas risquer l'indigestion.
56 ans
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