CRITIQUE : HARLEQUIN

16 mars 2020 
CRITIQUE : HARLEQUIN

A la fin des années 70, une vague de films de genre australiens commença à déferler sur le monde. Des auteurs comme Peter Weir et des titres comme PIQUE-NIQUE A HANGING ROCK ou encore LA DERNIERE VAGUE attisèrent la curiosité du public. Arrive de ce fait un titre comme HARLEQUIN, réalisé en 1980 par Simon Wincer.

Déjà auréolé de SNAPSHOT, comme beaucoup de ses congénères australiens, il émigra aux USA pour entamer une carrière émaillée de D.A.R.Y.L. ou encore MR QUIGLEY, L'AUSTRALIEN et HARLEY DAVIDSON ET L'HOMME AUX SANTIAGS. Il livre avec HARLEQUIN une oeuvre bizarre, avec Robert Powell dans le rôle d'un énigmatique magicien/guérisseur moderne aux airs de Raspoutine, manipulant la carrière et la vie d'un homme politique ayant les traits de David Hemmings.

Le film arrive enfin en France par l'entremise de Rimini Films, dans un combo Blu Ray/DVD. L'éditeur nous ayant envoyé le tout, voici donc l'édition Blu Ray décortiquée par nos soins.

Tout ceci en cliquant sur l'image ci-dessous :

Critiques
Rédacteur : Francis Barbier
Photo Francis Barbier
Dévoreur de scènes scandinaves et nordiques - sanguinolentes ou pas -, dégustateur de bisseries italiennes finement ciselées ou grossièrement lâchées sur pellicule, amateur de films en formats larges et 70mm en tous genres, avec une louche d'horreur sociale britannique, une lampée d'Albert Pyun (avant 2000), une fourchettée de Lamberto Bava (forever) et un soupçon de David DeCoteau (quand il se bouge). Sans reprendre des plats concoctés par William Friedkin pour ne pas risquer l'indigestion.
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