SPACE BATTLESHIP YAMATO AU CINEMA (AU JAPON)

1 décembre 2010 
SPACE BATTLESHIP YAMATO AU CINEMA (AU JAPON)

En 1940, la marine japonaise lance le Yamato, le plus gros cuirassé jamais construit. Armé de monstrueuses pièces d'artillerie, il part au combat en 1941 et connaîtra son heure de gloire, mais aussi quelques revers. Ce navire hors-norme, fierté du Japon, sombrera le 7 avril 1945 après s'être copieusement fait pilonner et torpiller par la marine américaine. Fin de l'histoire, ou du moins de celle que l'on pourra trouver dans les livres dédiés... Car en 1974, Leiji Matsumoto, le papa d'ALBATOR, fait revivre l'épave dans son manga intitulé «Uchu Senkan Yamato», ou «Space Battleship Yamato» à l'international. L'épave est retrouvée, retapée et convertie en vaisseau spatial afin de combattre les envahisseurs extra-terrestres. Le manga remporte un énorme succès mais ce sont surtout les trois séries animées, quatre films d'animation et différents OAV qui permettront à l'épopée intergalactique d'acquérir le statut d'«œuvre culte» dans l'archipel. Aussi, l'annonce il y a presque un an (voir news du 4 janvier 2010) d'un projet de métrage «Live» dédié à l'œuvre à fait l'effet d'une petite bombe. Doté d'un casting béton (Takuya Kimura, Meisa Kuroki) et soutenu par des millions de fans, SPACE BATTLESHIP YAMATO arrive aujourd'hui, 1er décembre, sur les écrans Nippon. A cette occasion, nous vous proposons le lien vers le site officiel (version anglaise), deux bandes-annonces sous-titrées en anglais, ainsi qu'un scan recto/verso du Chirashi original utilisé pour la promotion du film au Japon…
Site officiel : http://www.yamato-movie.net/en/

Xavier Desbarats

SPACE BATTLESHIP YAMATO (2010) - Chirashi recto SPACE BATTLESHIP YAMATO (2010) - Chirashi verso

Rédacteur : Christophe Lemonnier
Photo Christophe Lemonnier
Ancien journaliste professionnel dans le domaine de la presse spécialisée où il a oeuvré durant plus de 15 ans sous le pseudonyme "Arioch", il est cofondateur de DeVilDead, site d'information monté en l’an 2000. Faute de temps, en 2014, il a été obligé de s'éloigner du site pour n'y collaborer, à présent, que de manière très sporadique. Et, incognito, il a signé de nombreuses chroniques sous le pseudonyme de Antoine Rigaud ici-même.
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