BLU RAY WISHMASTER EN EDITION SIMPLE

13 juillet 2019 
BLU RAY WISHMASTER EN EDITION SIMPLE

Presque 6 mois après avoir sorti une édition Blu ray/DVD/livret, ESC annonce une édition "simple" du WISHMASTER de Robert Kurtzman, sorti en 1997 au cinéma en France avec un certain succès. Avec comme héros un Djinn (Andrew Divoff, véritablement carnassier) qui souhaite garantir trois voeux à celui qui le libère de sa malédiction, avant de pouvoir étendre son pouvoir maléfique sur Terre.

Une formule qui a fait son chemin, car pas moins de trois suites ont vu le jour, dont la seconde sortit également au cinéma en France. Pour cette édition simple du premier opus, ESC lance cette salve expurgée du livret et du DVD pour le 6 août 2019. Master restauré 2K, format 1.78:1, DTS HD MA 5.1 français et anglais, avec sous-titres français, durée de 90mn. Avec une belle brochette de suppléments, reprise de l'édition US :

Quand le génie sort de la lampe : Entretien avec Robert Kurtzman et le coproducteur David Tripet (21’58”)
Les mots magiques : Entretien avec le scénariste Peter Atkins (13’55”)
Le Djinn et Alexandra : Entretien avec Andrew Divoff et Tammy Lauren (25’57”)
Capturer l’image : Entretien avec le directeur de la photographie Jacques Haitkin (12’43”)
Liste de souhaits : Entretien avec Robert Englund, Kane Hodder et Ted Raimi (12’05”)
Teaser original (0’46”)
Bande-annonce originale (1’37”)

Avec un prix plus attractif que la première et (trop) récente édition, fatalement, environ 16€ vs 30€ pour le Mediabook. A noter qu'il y aura aussi un DVD qui sortira à part - mais les précommandes s'effectuent visiblement sur leur site.

Couverture :

Jaquettes
Jaquette : WISHMASTER
Rédacteur : Francis Barbier
Photo Francis Barbier
Dévoreur de scènes scandinaves et nordiques - sanguinolentes ou pas -, dégustateur de bisseries italiennes finement ciselées ou grossièrement lâchées sur pellicule, amateur de films en formats larges et 70mm en tous genres, avec une louche d'horreur sociale britannique, une lampée d'Albert Pyun (avant 2000), une fourchettée de Lamberto Bava (forever) et un soupçon de David DeCoteau (quand il se bouge). Sans reprendre des plats concoctés par William Friedkin pour ne pas risquer l'indigestion.
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