CRITIQUE : LA FILLE DE DRACULA

Au milieu des années 30, Universal a déjà lancé un véritable âge d'or du cinéma fantastique américain. Pour perdurer, la maison de production décide d'exploiter les classiques qui ont déjà fait leur preuve auprès du public. C'est ainsi que l'on découvre que le plus fameux des vampire à une descendance féminine dans LA FILLE DE DRACULA. Malgré le fait que le film soit bien moins renommé que les autres classiques de la Universal, il s'agit pourtant d'une oeuvre de grande qualité. C'est ce que nous dit Emmanuel Denis qui nous dresse le portrait de ce film dans sa chronique à lire en cliquant sur l'affiche ci-dessous...