CRITIQUE : RATMAN

Du Péplum aux comédies érotiques en passant par le Western et le Giallo, Giuliano Carmineo, dont pas mal de films étaient signés Anthony Ascott, a vu sa carrière se stopper à la fin des années 80 en raison de l’essor de la vidéo qui marquait le déclin d’une industrie cinématographique italienne jusque-là florissante. RATMAN n’est probablement pas le film le plus représentatif du cinéaste mais cette oeuvre tardive n’en reste pas moins surprenante comme nous l’explique Xavier Desbarats. Aujourd’hui, il nous parle donc de ce RATMAN en prenant comme base le DVD anglais, ne coûtant pas très cher, et faute d’une édition française.